Mosquée d'Abu Dhabi en construction
Mosquée Sakhrah, "Dôme du Rocher" à Jerusalem
Mosquée al Aqsa (photo avant destruction programmée)
Mosquée d'Abu Dhabi en construction
Mosquée Sakhrah, "Dôme du Rocher" à Jerusalem
Mosquée al Aqsa (photo avant destruction programmée)
Sur la corniche d'Abu Dhabi...
Les photos ont été empruntées au site alc.edu
Le prophète Muhammad (sws) a voyagé du pays des polythéistes au pays des croyants.. des ténèbres de l'incroyance à la lumière de la foi...de Makkah à Madinah..
Qu'Allah (swa) illumine les coeurs tout au long de cette nouvelle année 1428...
Il y a un an naissait "Salam alaykoum Abu Dhabi" ...Son premier article "mosquées d'Abu Dhabi" donnait le ton : la beauté de l'islam serait le moteur et l'âme de ce modeste site...
Nous remercions tous les lecteurs d'avoir partagé un moment de lecture et de continuer à faire vivre "abudhabisalam" une nouvelle année.. inch'Allah !
Les mosquées donnent à la ville d'ABU DHABI sa dimension humaine et font le lien entre les communautés. Elles se déclinent sous toutes les formes, tailles et couleurs....
Il y a celle qui se cache au milieu des villas....
et celle qui semble perdue à l'ombre des immeubles....
Il ya la mosquée de quartier qui connait ses intimes ...et celle du centre commercial les passants anonymes....
Il ya la mondaine, nommée Sheikh, fils du Sheikh...
Et la mosquée sans nom, baraque de chantier à laquelle on a flanqué un minaret et un croissant de lune...
Il y a celle qui rêve d'être aussi belle que sa soeur bleue d'Istambul...
Et celle dont Rome a servi de modèle...
Il ya la mosquée des dames et son pendant masculin à l'autre bout du jardin...
Et puis il y a toutes celles qui n'en finissent pas de vouloir sortir de terre...:
Et chaque jour à l'unisson elles appellent les fidèles à la prière...
« Abu Leila »… C’est ainsi que les bédouins ont surnommé le faucon pèlerin, le plus rapide des oiseaux utilisés pour la chasse. Sa vitesse peut atteindre 180 km/heure lorsqu’il déboule sur sa proie qu’il capture en l’air après une poursuite horizontale ou en exécutant des piqués de centaines de mètres. Son cousin, le faucon sacre, fait preuve d’une force et d’un courage remarquable et n’a jamais peur, il est capable de s’attaquer à des proies bien plus grosses que lui. La dernière prise spectaculaire d’un faucon saqr eut lieu en 2003 : le rapace abattit un daim de plusieurs fois son poids. Au temps où les gazelles peuplaient encore le désert d’Arabie, ces dernières étaient les proies favorites de ces redoutables chasseurs venus du ciel. Aujourd’hui ce « sport » très coûteux est pratiqué par les plus fortunés. Autrefois, les bédouins chassaient la journée et se retrouvaient le soir autour du feu, buvant le café cuit sur des pierres chauffées, déclamant des poésies et évoquant leurs exploits respectifs. Le dressage d’un faucon demande 2 à 4 semaines durant lesquelles l’oiseau reçoit un nom et reste en permanence avec le fauconnier. Les yeux du faucon sont recouverts d’un capuchon en cuir et ses pattes maintenues par des longes… le premier entraînement peut commencer. Le rapace devra répondre à son nom, sauter du champignon auquel il est attaché au bras ganté du fauconnier et petit à petit attraper des proies en vol sur ordre de son dresseur. Lorsqu’il est fin prêt, la saison de chasse débute (généralement au mois de janvier) et se poursuit jusqu’en mars. La outarde, actuellement mis en élevage aux Emirats pour répondre à la demande des chasseurs, et le lièvre forment l’essentiel du gibier. Finalement, à la fin de la saison de chasse les rapaces sont remis en liberté après avoir reçu des soins médicaux dans un établissement unique en son genre : l’hôpital des Faucons à Abu Dhabi. Ils auront suivi un régime alimentaire leur permettant d’augmenter leur chances de survie en liberté les premiers temps et auront été bagués et équipés de transmetteurs satellite miniature. Ils pourront alors être relâchés sur l’axe de migration d’autres faucons et les hommes pourront suivre leurs déplacements grâce aux nouvelles technologies. Photo n2, empruntée au web, aelc.edu
Tous les habitants d’Abu Dhabi connaissent Marina Mall. Situé sur une île entièrement artificielle, le centre commercial s’aperçoit de la Corniche et se reconnaît à sa toiture en forme de tente à trois dômes. Le thème architectural semble combiner l’univers marin et le désert si proche. Les parois de verre teinté couleur lagon laissent pénétrer une lumière bleutée reflétée sur un sol pavé de motifs marins, vagues ou poissons multicolores. L’impression d’espace et de luminosité invite naturellement à la flânerie. D’ailleurs Marina Mall est devenu le lieu de rencontre de la jeunesse émirienne, de promenade familiale avec shopping, cafés et cinéma. L’ensemble abrite déjà plus de 150 magasins. Le projet d’extension prévoit une centaine de boutiques supplémentaires, une tour panoramique de 120 mètres de haut, un complexe sportif proposant un grand mur d’escalade et, nostalgie des rigueurs climatiques de l’hiver alpin ou rivalité avec Dubaï obligeant, une grande piste de ski avec chalet en bois d’imitation suisse. Ainsi Le concept des Malls qui permet de regrouper sous une même entité boutiques, loisirs et sport, né outre atlantique, remporte un vif succès aux Emirats. On va au « Mall » pour se détendre ou simplement pour tuer le temps bien trop chaud et humide hors espaces climatisés…
Les dromadaires ont depuis longtemps déserté les dunes d’Abu Dhabi. Même les excentriques multicolores qui s’exposaient à chaque coin de rue ont été relégués à la fondation culturelle. Il reste bien le dromadaire du musée du patrimoine, qui, monté de touristes venus des steppes glacées de Sibérie, tourne en rond à longueur de journée, se demandant à quoi lui sert la perfection dont Allah (swt) l’a doté. N’est-il pas cité, lui, l’animal du désert, dans le Coran pour aider l’homme à réfléchir en contemplant les merveilles de la Création ? bismillah rahman rahim « Ne considèrent-ils donc pas le chameau, comment il a été créé ?… » (Coran 88/17) N’a-t-il pas une double rangée de longs cils, des oreilles chevelues et des narines poilues qui le protège du sable des tempêtes ? N’a-t-il pas dans sa bosse et son corps une véritable usine de traitement des graisses qui produit l’eau nécessaire à sa survie pendant plus d’un mois dans le désert ? N’est-il pas capable d’absorber l’eau douce comme l’eau saumâtre, voire l’eau de mer grâce à son aptitude à se débarrasser du sel ? Le lait de la chamelle n’atteint-il pas une valeur nutritive et médicale qui constitue dans certaines régions du globe touchées par la sécheresse l’unique élément de la survie humaine ? Vraiment, le dromadaire a des vertus extraordinaires !!!
De gauche à droite :
- Maroc, Egypte, Soudan, Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Yémen